Jaden Heller ou Le jeu démenciel [TERMINÉ!]

Nom : Heller

Prénom :Jaden

Sexe :Homme

Âge :16 ans

Ville/village d'origine (vous pouvez inventer) et continent : Goss, petit village peu connu du continent de Hild

Histoire :
Allez approchez, petits et grands.
Venez sans crainte, avancer tout prêt.
Car pour vous tous, mes chers enfants
Vous conter une jolie histoire, je vais


Ce conte parle d’un enfant particulié
Car un trait le différenciait des autres
Il prenait un immense plaisir à jouer.
De bien des pagailles, il en était la cause


De longs cheveux, en bataille
Un look un peu négligé
Sa mère était sans travail
Son père était décédé


La vie est difficile à traverser
Lorsque l’on dépend de la charité
De ce que les autres ont à nous donner


Malgré tout ces problèmes, il gardait le sourire
Et restait le plus heureux de tous les gamins
Partout dans le village, on entendait son rire
Et jamais, il ne se plaignait d’avoir faim


Voyez-vous, cette force, cette vision de la vie
Il l’avait appris, jeune, de son paternel
Car ce grand homme, à tous les jours, lui aussi
Était de ceux qui trouvaient la vie bien belle


Et ainsi, il restait heureux, et à chaque fête
Il était là, à son poste, et attendait
Un marchand nomade, loin d’être bête
Qui y faisait halte et lui vendait ses jouets


Et avec l’argent donné par sa mère
Il prenait gaiement le jouet le moins cher
En rêvant à ce qu’il allait en faire


Cependant, lentement, avec le temps
La lassitude s’empara de lui
À force de rejouer aussi souvent
Il n’y avait plus aucun défi


C’est alors qu’il chercha un peu d’excitation
Un peu fourbe, il déroba, chez lui, un couteau
Il choisit le plus coupant, au bout le moins rond
Et il courra en trimbalant son nouveau lot


Il retourna calmement avec un ami
Et lui proposa un nouveau jeu de son cru
L’autre, insouciant, répondit joyeusement oui
Et notre héro sortit le couteau bien en vue


La lumière qui scintillait sur la lame
Fit perdre à son camarade tout son calme
Il faut dire que c’était son premier drame


« Les règles sont simples tu verras
Le but est de frapper ma droite
Le moins rapide s’empalera
Sur la dague, avec sa patte »


Il plaça sa main en haut de l’arme
Il regarde l’autre qu’il mettait au défi
Celui-ci, par peur, fondit en larme
C’est ici que commença les ennuis


Remplis d’une myriade d’idées folles comme ça
Sa génitrice fut grandement peinée
Chialant, à chaque soir, que son cher papa
L’éducation, il n’avait terminé


De jours en jours, il en inventait
Armé d’un tout nouveau type de jouet
Les enfants en avaient peur désormais


Le point culminant, de toute cette démence
Fut surement, à son anniversaire
Lorsque le marchand, arrivé en avance
Ne vu pas le jeune entré par derrière


Celui-ci curieux, regarda les articles
Situés dans le fond de la caravane
Plein d’objet, à tout le moins peu classique
Des bagues, des colliers, sur la surface plane

Rien d’intéressant, sur ce comptoir
Il ne comprenait pas le secret
Pourquoi cet homme ne le laissait voir
Tous ces minuscules petits objets?


Car il faut dire, qu’à travers toutes les années
Bien que remplit d’une immense curiosité
De l’autre coté, il n’avait traversé


Jamais, avant, il n’avait pu
Aller dans cette petite section
Et maintenant qu’il avait tout vu
Il n’en comprenait les raisons


Puis, subitement, il les vit
D’un beau rouge, deux petits dés
Sa main, il mit, sur ceux-ci
Il fallait se dépêcher


Seulement, trop tard, le marchand était derrière
Il le regardait, complètement affolé
Il lui ordonna, comme peu le faire un père
De remettre les dés, où il les avaient trouvés


Bien que le marchant savait se faire entendre
La progéniture ne voulu les lui rendre
Ni acheter les deux dés, ni se les faire vendre


Devenu rebelle, le jeune les lança
Voyez-vous, il avait bien hâte d’y jouer
Violement sur le sol la paire tomba
Le deux et le six, il avait brassé


À ce moment, vous n’aller pas le croire
Des boules de feux apparurent, magiquement
Juste au déçu d’eux, venu de nul par
Six globes rouges flottaient, tous chauds, touts brulants


Aussitôt apparus, de par leur chaleur
Ils commencèrent à bruler le plafond
Se mit à courir, le pauvre vendeur
Criant injure à son client, le garçon


Les boules de feu, lentement
Brulèrent tout l’appartement
Et disparurent en même temps


Cette fois, s’en était vraiment trop
Les villageois allèrent se plaindre
On décida, sous les barreaux
De mettre l’enfant, pour ne plus craindre


Sa mère, bien que peinée, ne pu rien faire
L’enfant y passa deux années entières
Bien que créatif, bien que terre-à-terre
Le jeune, par son ennui, vira au vert


Mais, un jour, arriva, soudainement
Un homme mystérieux, encapuchonné
Il dit, à l’enfant, calmement
« Voici un objet pour que tu puisse y jouer »


Un objet cubique, neuf carrés sur chaque face
Il fallait tout le remettre en place
Un cube rubrique daltonien, de forte masse


Munit de différentes teintes de gris
Il était bien difficile à jouer
Le jeunot y passa jours et nuits
Il réussit en deux journées


C’est alors, que, devant lui
Une fissure se dessina
Un œil rouge, de bête, s’ouvrit
Dans sa tête, il lui parla


« Approche-moi des barreaux
Tu vas bien t’amuser
Le garde, ce stupide veau
Je vais terroriser »


Et sa promesse, il tenu
Le pauvre garde, à sa vu
Son gros bon sens, il perdu


Dans sa terreur, il ouvrit la lourde porte
Et l’autre pu rapidement s’échapper
Implorant, sa belle femme morte
Le garde était devenu possédé


Rien de magique, ici, cependant
Ce n’était que la plus simple des peurs

Armé de deux objets, maintenant
L’ado pu sortir avant son heure


Présentement il doit courir les rues
Faites très attentions si vous le croisez
Ce n’est pas pour rien, que les inconnus
À leur jeu, vous ne devez adhérer


Et voilà, s’ensuivaient les éternelles réactions. Des enfants applaudissent, remplis d’émerveillement devant l’originalité de l’histoire, accompagnés de leurs parents, bien heureux de la morale. Puis il y avait les autres, les septiques, ceux qui avaient eux peur, et leurs parents plein de reproches


« Comment pouvez-vous conter cela à des enfants?! »


« Ce n’est pas un conte! C’est une histoire d’horreur! »


Je ne pu réprimer un sourire au deuxième commentaire. Voyez-vous, l’homme avait touché dans le mille. Car, ce n’était pas un conte que je venais de réciter.


Mais une véritable histoire


C’était un enfant bien connu de mon ancien village. Cela m’avait pris un an pour mettre cela en rime et remplir les trous, que je n’avais réellement pas assistés, mais que je pu boucher grâce à des témoignages récoltés ici et là.


En récoltant les généreux dons des spectateurs satisfaits, je remerciais en silence le héro de cette histoire.


Il faut dire que l’enfant m’avait sauvé, car j’avais de grands problèmes d’argents.


Depuis que j’avais perdu mon commerce.


Un commerce de jouet

et d’ärm.


Description physique :Jaden Heller a 16 ans là où l’histoire se termine. Ayant commencé à avoir ses goûts morbides à l’âge de 12 ans, il fut enfermer à 14 ans. Comme dit dans l’histoire, son look négligé rend bien son coté turbulent. Il est en forme, dû à toutes ces heures passées à courir et faire des culbutes… mais aussi endurci dû à la prison. Son temps passé à jouer des tours fait aussi de lui un petit voleur entraîné. Car non seulement il a la forme, mais il est aussi très agile. Il n’est pas très large et est peu plus petit que la moyenne pour son âge. Lorsqu’il a le torse dénudé, on peut y voir quelque petites cicatrices, provenant de ses deux années plus mouvementé au village.

Description psychologique :Jaden, bien que malin lorsqu’on parle de compétition, est quelqu’un d’assez simplet. Il n’a qu’une règle de vie : s’amuser. Il associe maintenant cette quête de plaisir avec une quête de risque. Mais pour lui, le combat n’est qu’un jeu. Un jeu dangereux, mais incroyablement jouissif.
Sinon, il sait reconnaître lorsque quelqu’un à gagner. Il s’attend à respecter sa promesse s’il à gagé quoique ce soit…et s’attend à la même chose de son adversaire. Cependant il est très compétitif, et déteste perdre
Voyant les combats comme des jeux, cet adolescent recherchera des ärms rappelant ceux-ci


Les dessous de l'histoire: Bon ici je vais tenter d'éclaircir les bout de l'histoire moins clair dû aux rime et au type de narateur. Goss est une ville reculée, qui ne connait malheureusement pas les ärms. Seulement quelques intelletuels savent c'est quoi. De plus, les ärms sont interdits (cette interdiction, instaurée par ces intellectuels, prend un peu la forme de "chasse aux sorcière" pour les autres villageois). C'est donc pour ça que le marchand nomade ne laisse pas les gens de ce village regarder les articles du fond. C'est aussi pour ça que, lors de son arrestation, on n'a pas enlevé au garçon les dés, car le seul qui savait comment avait été fait l'incendie ne pouvait le dire, sous peine d'être emprisonné pour possession d'ärm...et vente d'ärm. Ensuite...pourquoi l'homme emcapuchonné est venu donner son ärm au prisonnier? Pour s'en débarasser et ne pas avoir Moïra à ses trousses (et ouais j'utilise le back-ground ). Il est donc aller dans un village reculé, qui ne sait rien de toute cette histoire de "chasse aux ärms parlant", et l'a donner à la seule personne qui accepterais sans hésiter ce cadeau d'un inconnu: Jaden.

Finalement, si vous n'avez pas compris le bout du garde, je vais l'expliquer. Le cube est un ärm ayant comme pouvoir de jouer avec l'esprit de l'adversaire. Il a donc créé des illusion pour le garde, qui n'avait jamais vu de magie à l'oeuvre avant. Celui-ci, apeuré, à ouvert la porte au jeune sous peur de représaille, et s'est mit à demander protection à sa défunte femme (un peu supersticieux sur les bords, vous en conviendrez...).


Je crois que j'ai tout précisé...demandez si vous avez des questions!

Points de vie :50
Points de fatigue :50
Niveau magique :1(0/10)
Niveau technique :1(0/10)
Compétences et niveau:Fourberie niveau1 (0/10)
Argent :2000 Pyutas

[b]

Excellent et très original, comme présentation ! Bienvenue !