Cloud ~ La Lune hivernale

Nom :[/b] ??? (Ōkami)
Prénom : Cloud
Sexe : Masculin
Âge : 19 ans
Ville/village d'origine (vous pouvez inventer) et continent : Continent de Hild (originaire d'une petite ferme aux alentours d'une ville du nom de Nibelheim)

Description physique :
He bien la première chose que l'on remarque chez notre petit Cloud est son invraisemblable coiffure assez original. Une magnifique chevelure blonde hérissée et rayonnante. En effet on pourrait se demander avec quel genre de gel il se coiffe ou quel quelle technique emploit-il pour obtenir un tel résultat. Mais ça seul notre jeune ami en connait le secret, un secret qu'il ne risque pas de dévoiler et qui se perdra à sa mort. Mais bon assez parlé de de sa coiffure, je vais quand même pas faire de la pub pour l'Oréal, oups j'en ait trop dit je crois... Bon une fois les cheveux détaillés, on remarquera ses yeux d'un bleu très clair virant presque au pâle. Affichant toujours un regard neutre et méfiants comme ceux d'un loup. Les traits de son visage sont plutôt fin et s'accorde particulièrement avec l'allure mélancolique qu'expose en permanence ce jeune homme.
Maintenant intéressons-nous, pour ces jolies demoiselles (petit clin d'oeil), au corps du jeune louveteau... Comme vous vous en doutez surement il a subi un entrainement de tyran planifié par son père adoptif ainsi aujourd'hui notre Cloud national possède un corps parfaitement musclé et bien taillé. Passons à présent au style vestimentaire du jeune homme... On peut dire que c'est très original et pas très commun. Déjà il porte une veste bleue marine, en laine, à rayures et sans manche. A ses mains il porte des mitaines en cuir, sur celle de gauche il orne des bagues tribals en or aux jointures (pour ceux qui connaisse pas les bagues tribals sont en quelques sortes des bagues qui recouvrent entièrement les doigts). Deux brassards noires aux poignets, ainsi que deux épais bracelet en argent sur son bras gauche. Une épaulière en acier, paraissant usée, à son épaule gauche, attachée au-dessus de la cape déchirée de couleur écarlate qu'il revêt. La moitié d'une tassette noire est visible sur sa hanche droite, attachée aux moyens de plusieurs ceintures de couleurs sombres. Ainsi qu'un pantalon noire et des chaussures en cuirs. Et pour finir il a des courroies en métal fixées aux jambes.



Description psychologique :
Voilà un sujet des plus délicat à traiter puisque la personnalité de chaque personne évolue au fil du temps et des expériences qu'elle a vécue, elle est donc changeante d'une période à l'autre. De plus, Cloud n'échappe pas à cette règle fondamental et on peut facilement le voir dans son comportement. Pour commencer il est nécessaire de préciser que notre jeune ami ne dispose plus d'aucune attache, en effet fils unique de deux fermiers, il eut le malheur de devenir orphelins très jeune. Mais ce n'est que dans la douleur qu'une expérience peut être pleinement vécu et ainsi ce malheur lui permit de faire un premier pas vers son futur actuel. Rien qu'en le voyant physiquement que quelque chose ne va pas chez Cloud en effet il donne l'air d'être triste, mélancolique et songeur. Cloud n'en reste pas moins une personne discrète et timide qui préfère largement resté dans l'ombre que sous les feux des projecteurs. D'un naturel doux, mais distant il en reste pas moins une personne attachante ainsi qu'un combattant des plus redoutables. Cependant, on peut lui reprocher le fait d'être du genre solitaire et tout comme tout bon solitaire qui se respecte crée une sorte de coquille protectrice. Même si avec la nature c'est une autre histoire. On peut dire qu'il y est dans son élément, un endroit ou il se sent bien et à l'aise. N'ayant aucun problème pour se lier avec les animaux. En fin de compte tout ce que l'on peut dire sur notre blondinet c'est qu'au fond il ne cesse de se chercher.

Spoiler:

Histoire :
Avant, il y a très lontemps, j'étais un enfant comme les autres. J'avais une mère, un père, une maison, une vie... Mais un soir d'hiver j'ai tout perdu. Je m'en souvient encore aujourd'hui comme si c'était hier. Le feu dans la cheminé, ma mère préparant le souper, mon père lisant le journal et moi fixant les flammes dansantes avec détachement. Nous habitions une petite maison éloigné de la ville connu sous le nom de Nibelheim. Nous n'êtions peut-être que d'humbles paysans vivant de leurs cultures mais au moins nous êtions heureux de notre condition. Ce jour là je devais avoir tout juste six ans, en clair un petit garçon curieux de tout connaître, de tout voir...Mais je me serais bien passé de voir certaines choses. Après un bon repas constitué d'une simple soupe chaude et d'une miche de pain, je partis me coucher. Je dormais comme peut dormir un enfant de six ans, c'est à dire d'un sommeil sans nuages. Brutalement le ciel de ma torpeur s'assombrit et des coups de tonnere éclatèrent dans ma tête. En fait les coups de tonnerre, c'étaient des bruits sourds mêlés aux cris de mes parents. Alors je me défis de mes draps et m'approchai de la porte. Passant mon oeil devant l'orifice de la porte afin de connaître l'origine des sons ayant brisé ma torpeur. Et je vis avec horreur les corps inertes de mes parents gisant au sol, baignant dans leur propre sang. L'odeur du sang planant l'air âcre me prit à la gorge Il y avait aussi ses silhouettes sombre, s'agitant et tremblotante dans toute la pièce. Puis l'une d'entre elles s'arrêta net, fixant la porte derrière laquelle j'étais caché. Elle s'approcha de celle-ci, découvrant ses serres noires prête à me prendre dans leurs sombre étreinte. Moi derrière l'encadrement de cette porte, je restai figé, ne pouvant m'empêcher de fixer cette lueur. Je ne sais pas ce qui m'a prit ensuite, je me suis mis à crier et à courrir vers la fenêtre de ma chambre. J e l'ouvris brutalement me faisant gifler par le vent d'hiver, mais la peur me faisait ignorer la morsure du froid hivernal. Sans hésiter je m'échappai de ma maison, courrant à bout de souffle à travers la neige blanche.

Depuis cette fameuse nuit, j'étais devenu un vagabond sans gîte sans famille...J'errai à travers la forteresse cherchant de quoi me nourrir par tous les moyens afin de survivre. Des fois je devais restai à jeun pendant des jours avant de pouvoir manger ne serait-ce qu'une miche de pain. Avec pour seuls vêtements un t-shirt crasseux, une écharpe en laine, un pantalon troué et des chaussures en guère meilleurs état que le reste. Mais pourquoi vouloir survivre? Je ne saurai répondre à cette question. Les habitants ne m'aimait guère peut-être parce-que je volais quelques fois. On disait de moi que j'étais un cadavre qui bougeait encore, refusant de mourir, d'une certaines façon ils n'avaient pas vraiment tort. Je n'étais guère plus apprécié des autres enfants non plus, leurs parents leurs ayant transmis leur haine envers moi. J'étais quelqu'un qui portait le malheur, le porte-poisse dont personne ne désirait. Quand je passais par une rue, ils accouraient, pierres à la main. Me lançant des cailloux afin de m'éloigner de leur terrain de jeu, je me contentait de marcher la tête basse, les larmes aux yeux. Ils me haîssaient et moi de même.

Il y avait aussi cette forêt sombre et dense qui émergeaient aux alentours de la ville. On disait qu'elle était maudite et que personne n'en revenait vivant une fois entré. C'était un sujet tabou qu'on évitait d'aborder afin de ne pas apporter le malheur. Etrangement j'étais attiré par cette forêt, par une sorte de lien que je ne saurait expliquer. Alors je quittai la ville, le coeur légé, après tout je n'avais pas grand chose à perdre et puis je ne manquerai à personne. J'avais 9 ans ce jour là si je me souviens bien. Arrivé devant cette forêt, je m'arrêtai quelques instants songeant aux raisons pour lesquelles j'allais m'y engager. Aucune apparament...bha comme je l'ai dit tout à l'heure je n'avais rien n'a y perdre. Puis je fis le grand pas celui qui change tout.

A ce moment je me sentais envahi par une sensation de force et de quiétude, j'avais l'impression de les entendre parler...les arbres autour de moi. A l'intérieur tout y était si verdoyant que c'en était presque aveuglant. Mais alors que je faisais mes premiers pas dans ce paradis vert, un loup émergea d'un buisson et me fixa de son regard implacable. Je restai figé sous ce regard, pas par la terreur mais par attraction. Je ne pouvais me détacher de ces yeux magnifique, puis d'autres arrivèrent ainsi qu'un grand homme. Il était de grande taille mais était assez maigre et ne semblait être doté d'une grande force. Il avec de long cheveux brun et une courte barbe lui poussait au menton. Il portait sur lui une longue cape en fourrure ainsi que quelques haillons. Il me considéra quelques instants et fit un signe de la tête. C'est alors que toute la meute repartit comme elle est venue nous laissant seul moi et l'homme de la forêt.

-Ton regard me plaît, de plus tu semble plaire à la Grise. J'aimerai savoir pourquoi tu t'es risqué dans cette forêt?

Alors je lui racontai toute mon histoire, à partir de cette nuit d'hiver jusqu' à aujourd'hui. Pendant mon explication il m'écoutait avec interêt et semblait faire attention à moi comme personne ne l'avait fait depuis des années. A la fin il hocha la tête et me fit signe de le suivre et je le suivis sans hésitation. Et à partir de ce moment cet homme devint mon père et la meute ma nouvelle famille. Cet homme s'appellais Kozure Okami et c'est tout ce que je sus de son identité, il était plutôt sceptique quand j'essayai d'en apprendre un peu plus sur son passé. Durant les années qui suivirent Kozure m'appris beaucoup de chose. Comment survivre dans la forêt, comprendre le language des animaux, l'art du combat et le maniement des Ärms. Je suivis un entraînement vigoureux encadré par mon père. Et les années passèrent, ma force grandissait tandis que je voyais que la santé de Kozure déclinait. Il essayait de ma le cacher mais je savais qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. Puis neuf ans passèrent, je rentrai de la chasse avec Grise, un lièvre dodu à la main. Arrivé à la clairière le corps de Kozure gisait la par terre tandis que la meute tentait tant bien que mal à le réanimer. J'accourrai auprès de lui, il respirait toujours mais n'en avait plus pour très lontemps

"Mon fils c'est toi?"

Il passa sa main à travers mes cheveux et souria

"Je suis si soulagé de pouvoir te revoir une dernière fois mon enfant. Ecoute moi bien mon fils, écoute les dernières paroles du vieux fou que je suis"

Puis il souria et sorti une chaîne avec la tête d'un loup au bout, il me la tendis et je la prit sans l'interrompre

"Elle est à toi maintenant, garde la bien. C'est Managarm un Ärm doté d'une conscience. Elle est dans ma famille depuis des générations sans qu'on sache d'ou elle vient. Elle n'est pas facile de caractère mais je pense qu'avec toi il n'y aura aucun soucis. Choisis ta vie! Vis ta vie! Et ne laisse aucune chaîne t'emprisonner que ce soit la meute ou ta famille!"

Après ces mots il mourrut le sourire aux lèvres tandis que la meute pleura sa mort, moi je restai silencieux gardant mes larmes pour plus tard. Durant la nuit je restai assis sur un haut rocher à regarder la pleine lune, livré à mes songes. Le lendemain j'enterrai le cadavre de mon père sous le regard de mes frères et soeurs et fis mes bagages. L'appel du voyage m'attirait vers les horizons lointains, je ne pouvais pas rester dans la forêt toute ma vie. Arrivé à la sortie de la forêt, mes pas furent accompagnés par les hurlements de mes anciens compagnon qui avaient décidés de rester. Je partis la conscience tranquille

"Tu ne regrette rien?"

C'était la première fois que j'entendais la voix Managarm

"Non"

"He bien j'espère pour toi que tu ne regrettera pas tes choix comme le vieux"


Points de vie : 50
Points de fatigue : 50
Niveau magique : 1 (0/10)
Niveau technique : 1 (0/10)

Compétences et niveau :. Survie niveau 1 (0/10)

Argent : 2000 Pyutas.